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Concept.FranceMOB

Récupérer son poteniel

17 Janvier 2008 , Rédigé par Processus & Synergies Publié dans #Communication

passe.jpghttp://www.chapitre.com/CHAPITRE/fr/BOOK/bernardin-thierry/guerir-du-passe,1163953.aspx


Résumé : "Ah si seulement j'avais épousé quelqu'un d'autre... si j'avais eu d'autres parents... si j'avais pu faire des études... si j'avais plus d'argent...
" Si seulement...
Plus ou moins fréquemment, avec une acuité plus ou moins grande, chacun de nous a un jour attribué à son passé les blocages et les insatisfactions vécues au quotidien, et a craint leur répétition dans l'avenir.
Ainsi, les problèmes que nous rencontrons (problèmes de santé ; troubles relationnels dans le couple, la famille, le milieu social ; difficultés professionnelles ; manque chronique d'argent...) restent le plus souvent la conséquence de "programmes" perturbants (mémoire de croyances, de projections ou de traumatismes) que nous avons enregistrés à un moment de notre existence,
et ce, depuis le moment même de notre conception voire avant, à travers les transmissions inconscientes qui ont précédé celle-ci.
L'influence de ces programmes est telle, que bien que nous ayons l'impression de vivre des situations nouvelles librement choisies, nous ne faisons que rejouer des scénarios appartenant au passé.
 Thierry Bernardin étudie depuis longtemps la Catharsis glaudienne - méthode thérapeutique récente venue du Canada -
qui s'appuie sur la double tâche de la mise au jour de la souffrance et du travail sur le présent ;
 la mise au jour de la souffrance ouvre la porte à la réconciliation ;
le travail sur le présent permet de prendre des points d'appui tangibles sur une réalité qui n'est pas encore contaminée par le passé.
"Aller avec"  est le mot-clef de cette démarche novatrice.
 Au lieu de fuir son vécu, on rejouera son passé à travers une démarche de régression, jusqu'à l'aboutissement des processus de deuil jusque-là inachevés.
 Ainsi la Catharsis permet-elle de faire "fuser" dans la conscience les programmes erronés qui doivent être désoccultés.
Notre conscience peut alors entrer en résonance avec le traumatisme initial pour le déprogrammer.
Nous pouvons enfin abandonner nos systèmes de croyances anciens et accepter la souffrance que nous avons vainement cru anesthésier.
Nous pouvons guérir du passé, regarder notre avenir en face...
et nous faire confiance
.

  occulter

 
Quand nous sommes aux prises avec un conflit, avec nous même (par exemple quand nous ne sommes pas en cohérence avec nos souhaits profonds)
ou avec les autres (par exemple quand nous n’avons pas dit « tout ce qui devait être dit »
 ou « fait tout ce qui devait être fait » pour en finir enfin avec un sentiment d’injustice, de culpabilité, etc., pour terminer un deuil non achevé...), nous perdons de l’énergie.

Ou plutôt, nous l’affectons à une autre tâche, qui s’apparente à un processus de « survie » :
repousser le conflit,
« tenir le coup » malgré tout,
 « faire comme si ».
Cela le plus souvent de façon automatique et inconsciente.

Alors évidemment, on se sent de plus en plus fatigué !

Pour tenter de récupérer notre plein potentiel, nous disposons d’au moins deux familles de démarches, opposées et néanmoins complémentaires :


- Recevoir un supplément d’énergie venant de l’extérieur
- Libérer l’énergie bloquée dans les conflits non réglés


1/ Recevoir un supplément d’énergie venant de l’extérieur

C’est comme rajouter en permanence de l’essence dans un réservoir qui fuit. C’est bienvenu et parfois indispensable ponctuellement mais ce n’est pas la solution sur le long terme.

Tous les produits et méthodes qui vont nous donner du « punch » rentrent dans cette catégorie :

- meilleure hygiène de vie
- compléments alimentaires, « superaliments » (graines germées, jus d’herbe de blé, etc.)
- exercice au grand air
- massages, draînage toxinique
- amélioration du cadre de vie personnel et professionnel
- soins et pratiques « énergétisants »
- etc.

Comme je l’ai dit plus haut, il est probable que ces méthodes atteignent vite leur limite si les conflits intérieur et extérieurs non réglés s’accumulent et continuent de « pomper » notre énergie.

C’est souvent à ce moment critique que s’impose la seconde approche, car nous n’avons plus la possibilité de la différer.


2/ Libérer l’énergie bloquée dans les conflits non réglés, dans les situations inachevées

C’est la démarche inverse et complémentaire de la précédente.

Elle consiste à écouter ce qui se passe en soi.
Un bon indicateur est le sentiment de ne pas être en cohérence avec soi-même.

Si nous prenons le temps de nous écouter, nous allons entrer en contact avec des émotions.
 Celles-ci s’activent dès que nous pensons à une personne, à une situation avec lesquelles nous ne nous sentons pas en paix.


Que faut-il faire alors ?


S’il s’agit d’une situation que l’on ne peut pas changer, il ne nous reste plus qu’un seul choix :
avancer dans un processus de deuil qui ne nous emballe peut-être pas mais qui est probablement la seule possibilité qui nous reste.


Nous ne pouvons pas changer le fait que nous avons perdu un être cher, un emploi apprécié, un objet vénéré, etc.
mais il nous reste le pouvoir de changer le regard que nous posons sur cette réalité.
Ce ne sera pas forcément facile, ni immédiat (heureusement, il y a nos amis ou des professionnels pour nous aider !),
mais, si nous voulons vraiment récupérer l’énergie bloquée dans ces conflits, nous ne pouvons pas y échapper.
Cette libération d’énergie passe donc par une libération émotionnelle, qui s’exprime souvent par des pleurs perçus comme ...libérateurs.


Si par contre il nous reste une marge de manoeuvre, nous pouvons agir pour changer ce qui peut et doit l’être, et que l’on repoussait peut-être depuis des lustres, par peur de déroger à nos croyances de base ou à celles de notre clan :
déménager, entreprendre de nouvelles études, changer de travail, se marier, divorcer, dire ce que l’on a sur le coeur à un parent, un ami, etc.


Alors, toute l’énergie qui servait à contenir ces conflits intérieurs ou extérieurs redevient à nouveau disponible.


Le corps va en profiter et peut-être évacuer un surplus de toxines accumulées à cause de la « mauvaise carburation » découlant de la période où l’énergie manquait.
Ce ne sera pas forcément un moment agréable mais si l’on a conscience de son lien avec la libération qui l’a précédée, on le vivra tout de même plus sereinement !

Le moral, l’esprit d’entreprise, la joie de se lever le matin vont aussi en profiter pour reprendre leur place dans notre vie !


Quand les situations inachevées le sont enfin, c’est comme si vous remplaciez un fusible dans une installation électrique :
le courant de la vie peut à nouveau éclairer les pièces privées de lumière.


C’est ce « re-branchement » à vous-même que je vous souhaite de tout coeur .

Thierry Bernardin http://www.ctendance.com/article-10264.html


googleimages-shunter.gifLes fantômes du passé :
http://www.knock-on-wood.net/article-33377016.html

ccccccccccccccc.jpghttp://www.knock-on-wood.net/article-33409525.html



Decouvrir-un-sens-a-sa-viepour compléter,lire :Viktor Frankl (1905-1997)
http://www.knock-on-wood.net/article-le-sens-de-la-vie-39710620.html
Video:
http://www.youtube.com/watch?v=9EIxGrIc_6g

 
FranklV SensVie C4

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